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La mode actuelle des "médecines alternatives" et/ou "complémentaires" amène parfois à les opposer à une médecine conventionnelle. Or, la médecine moderne est UNE, elle est résolument fondée sur la science ("evidence based medicine"). La situation est la même en médecine vétérinaire.
Dans sa pratique, le vétérinaire est amené à établir des certificats avant cession et des certificats d’engagement et de connaissance (CEC), destinés à conseiller utilement et efficacement ses clients, qu’ils soient vendeurs ou acquéreurs d’animaux de compagnie, et qui peuvent engager sa responsabilité. Dans tous les cas, il est pleinement dans sa mission de contribution au bien-être de l’animal et de lutte contre la maltraitance animale.
La Prévention Médicale se préoccupe tout particulièrement de qualité et de sécurité des soins, en médecine humaine comme en médecine vétérinaire. Dans le même temps, la question de l’indépendance du professionnel est une question considérée comme majeure et fait assez souvent débat. L’indépendance du professionnel est une caractéristique, définie dans la loi, des professions dites libérales.
Mais qu’est-ce que l’indépendance du professionnel qui exerce, quelle en est la raison d’être ?
Depuis 2020, la profession vétérinaire s’avère être majoritairement féminine (les vétérinaires ou leurs auxiliaires). La problématique des risques au travail dans cette profession pour les femmes enceintes est majeure. En effet, peu de professions cumulent à ce point les facteurs de risques chimiques, biologiques et physiques. Il est donc important de se pencher sur l’identification et la prévention de ces risques.
Hospitaliser un animal, c’est le garder en continu dans l’établissement de soins vétérinaires (ESV) pour des soins nécessités par son état. L’hospitalisation peut être de quelques heures, pendant la période d’ouverture de l’établissement (hospitalisation de jour) ou plus longue, englobant jours et nuits.
Cette hospitalisation ne va pas sans risques propres. Il s’agit de les prévenir.
Le sujet de la maltraitance ou des maltraitances animales concerne au premier chef le vétérinaire. En effet celui-ci n’est pas en charge de la seule santé animale au sens restreint du terme, à savoir l’absence de maladie ou de blessure. Il est en charge, plus largement, du bien-être animal. Cette mission a parfaitement vocation à s’inscrire dans les démarches de qualité et de sécurité des soins*.
Le chien a réputation d’être le meilleur ami de l’homme. Toutefois, même entre bons amis, il peut y avoir des malentendus et, au bout du compte, dans le cas d’espèce, des accidents de nature physique.
Le vétérinaire a vocation à soigner l’animal, il n’a pas vocation à lui donner la mort. Pourtant, quand les soins sont impuissants à soulager ou guérir l’animal malade ou blessé, la question se pose de l’option de sa "délivrance" sous forme de mort douce. C’est l’euthanasie. Quel est l'impact de cet acte tant en termes d'éthique que de gestion du risque ?
Cet article dresse un état des lieux des avis et recommandations vétérinaires relatives aux potentielles mutations du SARS-CoV-2 chez les animaux de compagnie. Décryptage par le Dr Vétérinaire Michel Baussier.
Afin de recueillir des informations sur les pratiques vétérinaires en matière de télémédecine vétérinaire, le décret du 5 mai 2020 offre la possibilité de pratiquer ce type d'exercice sous forme d'expérimentation.
Nous devrons attendre 18 mois à l'issue desquels une réglementation pérenne pourrait être mise en place.