Retrouvez tous les cas cliniques des médecins par spécialité : psychiatrie, pédiatrie, neurologie, gynécologie, ophtalmologie, dermatologie, gériatrie...
Il est difficile de faire admettre à un propriétaire d’animal qu’il n’existe pas de lien de causalité entre une intervention chirurgicale de convenance et l’apparition, dans les suites, d’une pathologie tumorale. Instaurer une relation de confiance avec le propriétaire s’avère d’autant plus important.
Le pronostic des plaies urétérales dépend essentiellement du délai de leur prise en charge mais aussi de leur type, de leur localisation et de leur taille. Lorsqu’elle est méconnue, une telle lésion peut déboucher sur des complications graves, voire le décès. Illustration avec ce cas clinique.
La traçabilité des rapports de consultation et leur accès immédiat, si possible dématérialisé, sans délai à tous les membres d’une équipe dans une clinique de groupe est indispensable à la continuité des soins et à la sécurité des prises en charge.
Un chat mâle multiplie les consultations vétérinaires après une soudaine baisse de forme. Malgré des signes peu clairs et des examens variés, le diagnostic de lymphome malin met fin à un parcours médical complexe, illustrant les défis des diagnostics vétérinaires.
Les antécédents d’allergie doivent être tracés au sein des dossiers des patients et accessibles avant toute prescription. Tout nouveau patient doit faire l’objet d’un interrogatoire soigneux à la recherche de ce type de problème.
La survenue inopinée de troubles visuels constitue un des 5 signes cardinaux d’alerte AVC (Prise en charge initiale des patients adultes atteints d’AVC, Recommandations HAS 2002), a fortiori chez un patient hypertendu avec un antécédent d’accident ischémique transitoire dont le traitement antiplaquettaire avait été suspendu. Ce seul signe aurait dû déclencher une alerte AVC.
Le cathétérisme bilio-pancréatique demeure la technique endoscopique la plus difficile. Quels que soient les méthodes et instruments utilisés, la CPRE demande un long apprentissage et le maintien d’une activité soutenue pour que ses résultats soient à la hauteur de ses possibilités.
Associer le maître de l’animal aux soins en cabinet ou clinique vétérinaire peut permettre une prise en charge plus sereine et plus sécure. En particulier s’il s’agit d’un animal nerveux, agressif ou douloureux.
Pratiquer une intervention sans réelle compétence expose à des risques majeurs : cliniques pour l’animal, financiers pour le propriétaire de l’animal et contentieux pour le vétérinaire. La formation est aujourd’hui partout accessible. Elle ne s’improvise pas.
En cas de contexte clinique évoquant potentiellement une occlusion intestinale aiguë (douleurs abdominales, nausées et/ou vomissements spontanés ou provoqués par l’ingestion de tout produit, ralentissement du transit intestinal), il convient de mettre en place une sonde d’aspiration gastrique pour éviter une fausse route bronchique, aux conséquences potentiellement graves.