Retrouvez tous les cas cliniques des médecins par spécialité : psychiatrie, pédiatrie, neurologie, gynécologie, ophtalmologie, dermatologie, gériatrie...
La maladie de Horton est une maladie assez rare et très difficile à diagnostiquer. Ce cas clinique met en évidence la responsabilité du médecin traitant et du médecin ophtalmologiste d'un patient, pour qui il a résulté une perte de chance importante.
En 2018, une patiente consulte son chirurgien-dentiste car elle présente un bridge vétuste. En 2020, le traitement dentaire n'était toujours pas achevé... Que s'est-il passé au cours de ces 10 années ?
Le cas clinique suivant met en avant la question de la relation de confiance entre un vétérinaire remplaçant et son client suite au décès de son animal.
Les complications mortelles du prolapsus utérin sont relativement fréquentes, elles sont généralement immédiates ou rapides et dues à une hémorragie interne ou un état de choc. Le cas suivant est inhabituel.
L'analyse de ce cas clinique met en évidence un défaut de surveillance chez une patiente aux antécédents particuliers, hospitalisée pour une pose de prothèse de hanche. Une lésion du nerf sciatique, connue comme une complication postopératoire courante, aurait pu être réversible si elle avait été traitée à temps.
Un patient consulte un chirurgien-dentiste, qui se trouve être aussi un ami d'enfance. Au cours des soins, ce patient évoque le décès d'un ami commun. Cette annonce occasionne chez le praticien une charge émotionnelle importante qui va alors le conduire à un manque de vigilance dans la réalisation des soins.
Un résultat de biopsie ganglionnaire est classé dans le dossier du patient sans lui être communiqué. Il s'en suit un retard diagnostique de 19 mois d'une maladie de Hodgkin. Découvrez l'analyse détaillée de ce cas clinique dans lequel plusieurs médecins sont mis en cause.
La chirurgie est un acte d’équipe, mobilisant au-delà du bloc pour le suivi post-opératoire de l’opéré. Les coordinations entre professionnels, médecins du patient, médecins de garde, équipe soignante d’étage, prennent alors tout leur sens, et représentent souvent le point faible le plus préjudiciable au patient…
Il ne s’agit pas cette fois d’un cas tiré d’une activité de soins du vétérinaire mais d’une activité de conseil technique (expertise vétérinaire amiable), type d’activité pour laquelle le praticien rural est souvent sollicité.
L’événement indésirable est ici constitué par la mise en cause des moyens du diagnostic vétérinaire.
Début septembre 2016, un homme de 85 ans, consulte son médecin traitant pour des "rectorragies". Un diagnostic de cancer du côlon est rapidement établi et une double colectomie réalisée. Les suites opératoires sont défavorables et le patient décède fin décembre.