Retrouvez tous les cas cliniques des médecins et leur analyse détaillée, par spécialité : médecine générale, pédiatrie, gynécologie, ophtalmologie, dermatologie, gériatrie...
La maladie de Horton est une maladie assez rare et très difficile à diagnostiquer. Ce cas clinique met en évidence la responsabilité du médecin traitant et du médecin ophtalmologiste d'un patient, pour qui il a résulté une perte de chance importante.
Un résultat de biopsie ganglionnaire est classé dans le dossier du patient sans lui être communiqué. Il s'en suit un retard diagnostique de 19 mois d'une maladie de Hodgkin. Découvrez l'analyse détaillée de ce cas clinique dans lequel plusieurs médecins sont mis en cause.
Début septembre 2016, un homme de 85 ans, consulte son médecin traitant pour des "rectorragies". Un diagnostic de cancer du côlon est rapidement établi et une double colectomie réalisée. Les suites opératoires sont défavorables et le patient décède fin décembre.
Un médecin généraliste est appelé au chevet d'une patiente de 58 ans présentant des troubles digestifs. Une gastro-entérite aiguë est diagnostiquée. La patiente décèdera 24 heures plus tard à son domicile.
Le médecin traitant d'une patiente omet de mentionner son allergie médicamenteuse à l'établissement auquel il l'adresse. Cette omission, ainsi que le défaut de communication interservices de l'établissement, causent le décès de la patiente.
La détection d'une appendicite peut parfois s'avérer complexe.
C'est ce que reflète ce cas clinique dans lequel une femme de 55 ans est victime d'un retard diagnostique lourd de conséquences.
Certains traitements peuvent déclencher chez le patient des comportements addictifs pouvant avoir des impacts lourds dans leur vie.
Ce cas clinique traite d'un homme devenu addictif aux jeux d’argent durant son traitement médical par Dostinex®.
Les conséquences dramatiques d'une interaction difficile entre la prescription d'un chirurgien-dentiste et d'un généraliste...
Les conséquences dramatiques d’un traitement inapproprié et d’une absence de surveillance du médecin généraliste...
Une jeune femme consulte, en février 1996, un médecin généraliste car elle envisage une prochaine grossesse.
Constatant dans le bilan sérologique prescrit qu’elle n’était immunisée, ni contre la toxoplasmose, ni contre la rubéole, le généraliste lui conseille une vaccination contre cette dernière maladie.