Retrouvez tous les cas cliniques des médecins et leur analyse détaillée, par spécialité : médecine générale, pédiatrie, gynécologie, ophtalmologie, dermatologie, gériatrie...
Une phlébite de la saphène superficielle apparaît un mois après le début d’une contraception orale chez une jeune femme de 20 ans. Mise sous traitement anticoagulant pendant une semaine avec poursuite du contraceptif, elle décède par embolie pulmonaire massive 4 semaines plus tard.
La poursuite d’un traitement antihypertenseur chez une femme enceinte sans un contrôle et un suivi attentifs des médicaments pris par la patiente peut avoir des conséquences fatales sur le fœtus, en particulier quand la communication est compliquée par la barrière de la langue.
La conduite à tenir vis-à-vis du traitement par AVK en cas de chirurgie ou d'acte invasif fait l'objet de recommandations. Dans le cas clinique suivant, une absence de communication entre chirurgien et anesthésistes a conduit à une mauvaise gestion périopératoire et au décès de la patiente.
Un patient de 50 ans, atteint de tétraplégie suite à une prise en charge tardive de son affection par le centre hospitalier et son médecin traitant, a obtenu réparation de son préjudice en raison des fautes commises, à l'origine d'une perte de chance de 80 %.
Un homme de 67 ans souffrant d'une maladie coronaire est pris en charge dans le cadre d'une intervention carotidienne non-urgente. Sur indication de l'anesthésiste, celui-ci interrompt son traitement antiagrégant plaquettaire, ce qui va entraîner son décès 3 jours plus tard. L'anesthésiste et le chirurgien voient leur responsabilité engagée en raison d'un défaut de communication.
Toute fièvre présentée par un sujet revenant d'un pays impaludé doit être considérée comme un accès palustre, jusqu'à preuve du contraire, et déclencher la réalisation des examens nécessaires à sa confirmation. En effet, tout retard de diagnostic et donc de traitement peut entraîner l'évolution d'un accès palustre bénin vers la gravité.
Ce cas clinique d'un homme de 57 ans, de retour d'un long séjour en Afrique de l'Ouest, l'illustre bien.
Un patient de 80 ans décède des suites d'un choc hémorragique après une cure de hernie inguinale. Plusieurs anesthésistes-réanimateurs et la clinique sont reconnus responsables. Découvrez l'analyse détaillée de ce cas clinique qui met en évidence l'importance du respect d'un délai minimum pour la reprise d'un AOD après une intervention chirurgicale.
L’anticipation est une règle en anesthésie. Si le pire n’est pas certain, il est toujours possible et la rigueur constante doit permettre d’éviter des événements aux conséquences dramatiques.
Découvrez l'analyse de ce cas clinique qui met en exergue un défaut de prise en charge par un médecin traitant, entraînant pour son patient une perte de chance significative avec séquelles suite à une sciatique paralysante.
Un patient de 57 ans est victime d'un accident cardiaque, le traitement antiagrégant dont il aurait dû bénéficier ne lui a pas été prescrit par le centre hospitalier. Analyse d'un cas clinique qui met en évidence l'intérêt d'informer par les 3 DIRE.