Le 26 août 2003, une femme de 43 ans consulte en urgence un chirurgien généraliste du CHU (en secteur privé) pour une « excroissance » et des douleurs anales. Ce praticien a été « recommandé » à la patiente par une de ses amies. Elle n’en a pas informé son médecin traitant.
Assignation du chirurgien généraliste et du médecin traitant par la patiente, en mars 2009, en réparation du préjudice qu’elle avait subi.
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Tribunal de grande Instance (juin 2012)