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Culture de l'autonomie du médecin et du patient

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2006 - Quelle autonomie à refuser un traitement jugé non prioritaire pour des patients?

13/08/2015

Gampel E. Does professional autonomy protect medical futility judgments?Bioethics, Vol. 20, No. 2, pp. 92-104, April 2006

Résumé

L’article se place dans le cadre de traitements de confort demandés par les patients. Le médecin doit construire sa décision sur trois dimensions : (1) sa liberté réelle à ne pas prescrire (marché compétitif, mais aussi liberté du patient), le fait qu’il existe ou pas un référentiel ou en tout cas une position scientifique sur l’utilité de cette prescription (quelle justification réelle pour ne pas prescrire) et sa conscience propre sur la consommation médicale et sa place comme acteur d’un grand système collectif. L’article n’apprend pas grand-chose sur les conclusions mais donne quelques exemples de cas difficiles, où les dimensions citées sont mises à mal par l’organisation étatique et la tutelle au sens général.

Mon avis

Intéressant mais limité dans les conclusions.